قصص مغربية:أحببتها رغم شقاوتها

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À propos de l'application

Maman : Je veux que tu récupères un coq, Rowena, et je te retrouverai à mon déjeuner. Nous te casserons quelque chose pendant la journée.
Moi : (Dira Aziyat, tu m'aimais bien ? Je me sentais bête, une des sandales du printemps de la mélodie, ma mélodie m'est venue) Dieu, qu'est-ce que tu me veux ?
Maman : Depuis le matin, je pleure Hana. Elle appelle Hana. Anta chante comme une chanson.
Moi : Safi Hani Naida.
Maman : C'est un animal.
Moi : Aïe (j'ai grandi avec mon bonheur et ma promesse, j'ai rassemblé ma maison et la maison de mon frère et Wasla, et pour m'amuser j'ai fait un coq de Tolit) et enfin Dieu.
Haha, laisse-moi te parler de ça, je m'appelle Farah, j'ai 18 ans, j'ai un visage, j'ai un an, je suis grande et petite, mes cheveux sont longs et blonds, arrivant jusqu'à ma taille. Mes yeux sont grands, ils sont brillants, ils sont soumis, ils sont jeunes, ils sont blancs, et ma peau est blanche. Un peu épaisse 😂), Au diable ma pudeur, Mohim. Je vis avec ma mère Naima. Mon frère Imad a 24 ans plus âgé que moi. Quant à mon père, que Dieu ait pitié de lui. Nous l'avons gardé dans un pot du piège de mon peuple. Mon père l'a acheté avant de mourir. Mon frère a servi mon frère et nous avons voulu l'échanger contre de l'argent. Mon mère ne voulait pas te tuer. Laisse-nous faire. Pour le défunt, pour le défunt, où l'avons-nous laissé....