Le strade di Di Cicco

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À propos de l'application

Situé dans le parc de Gallipoli Cognato et les Dolomites de la Petite Lucanie, le site archéologique de Croccia Cognato se dresse autour de Monte Croccia (1140 m.s.l.). Il occupe une position privilégiée pour le contrôle de la Valle del Basento et de la Salandrella. Il s'agit en fait d'un établissement fortifié datant de la sixième moitié de la première moitié du troisième siècle avant notre ère, inséré entre les sites offshore de la Basilicate "Lucana". La région particulièrement montagneuse et sauvage, depuis le mésolithique (1200-8000 av. J.-C.) commence à représenter un environnement riche en ressources. Les groupes de chasseurs-cueilleurs l'ont choisie pour diriger leurs chasses, en tirant parti des cavités naturelles des affleurements rocheux de grès tels qu'un abri et une grotte. Mais ce n’était pas la raison de la
fréquentant la région. L'existence de ces groupes n'était pas seulement liée aux activités de chasse, mais également à la fourniture de silex, matière première pour la transformation de leurs instruments, dont le territoire est particulièrement riche. D'après l'analyse de l'industrie lithique, il devait cependant s'agir d'une allocation saisonnière. Parmi les suggestions de la beauté naturelle du site, les affleurements rocheux de grès qui, à l’âge du bronze, ont atteint leur monumentalité maximale avec l’utilisation du complexe mégalithique de Pietra della Mole comme un calendrier de pierre, capable de signaler le solstice d’été et le
solstice d'hiver.
Au VIème siècle avant JC "Croccia Cognato" vient avec un mur de la ville, "le mur de la ville extérieure", construit avec des pierres lithiques irrégulières, aux 4ème et 4ème siècles avant JC. est ajouté
un nouveau circuit de défense en travail pseudo-polygonal. Les deux courroies sont construites selon la technique du double gypse et avec le remplissage du noyau interne composé de déchets de pierre mélangés à la terre. Pour la datation et la fonctionnalité, la technique de construction du premier circuit mural est moins élaborée que celle du second circuit, qui utilise uniquement des solutions grossières dans les points les moins représentatifs, y compris parfois la roche sur site. Le mur de centre-ville, mieux connu
"murs de l'Acropole" est défini par quatre poteaux extérieurs et par la porte d'entrée principale, dont les blocs portent des signes de l'alphabet grec attribuables aux signatures des tailleurs de pierre.
Ce qui était sur l’Acropole reste une question ouverte qui conditionne également la reconstruction des événements historiques du site. Moins de doutes, cependant, sur l'articulation du règlement entre les premier et deuxième murs, où la découverte d'un complexe aux dimensions "remarquables" fouillé par Di Cicco et redécouverte par la Mission
L’Université de Heidelberg pourrait suggérer que l’espace était organisé autour de logements.
Il est probable qu'au quatrième siècle Av. J.-C. il y a une réelle gestion de l'espace territorial, ce qui aboutit à un peuplement divisé en trois secteurs différents: l'Acropole, la zone habitée et la zone de culte. Ce dernier, extérieur aux deux circuits de défense, a été identifié sur la base des découvertes de céramique et des terres cuites votives dans la localité de "Acqua Fra Benedetto".
Dans la première moitié de III a.C. nous assistons à l'abandon de la région. C'est une phase de grandes transformations de règlement pour la Lucanie interne.
Date de mise à jour
17 févr. 2020

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