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La Convention de Vienne pour la protection de la couche d'ozone (1985) et son Protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche d'ozone (1987) sont des accords internationaux qui ont été adoptés pour faire face à la plus grande menace environnementale de l'époque: la découverte d'un trou dans la couche d'ozone.
La couche d'ozone est une région à forte concentration d'ozone dans la stratosphère, de 20 à 30 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre. Il agit comme un bouclier invisible et nous protège, ainsi que toute vie sur terre, des rayons ultraviolets nocifs (UV) du soleil.
Au milieu des années 80, des scientifiques ont découvert un amincissement de la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique. Il a été déterminé que les produits chimiques d'origine humaine contenant des halogènes étaient la principale cause de cette perte d'ozone. Ces produits chimiques, appelés collectivement substances appauvrissant la couche d'ozone (SAO), comprennent les chlorofluorocarbures (CFC), les hydrochlorofluorocarbures (HCFC), les halons et le bromure de méthyle. Ils ont été utilisés dans des milliers de produits, des climatiseurs, réfrigérateurs et bombes aérosols, aux solvants utilisés pour nettoyer l'électronique, les mousses isolantes, les systèmes de protection contre les incendies, les inhalateurs et même les semelles de chaussures, ainsi que les fumigants pour tuer les parasites.
Salués comme l'un des accords de ce type les plus réussis de l'histoire, les traités sur l'ozone rassemblent tous les pays du monde, dans un cadre qui leur donne accès aux dernières informations scientifiques, environnementales et technologiques sur lesquelles fonder leurs décisions. Depuis plus de 32 ans, les parties aux traités sur l'ozone collaborent avec le monde scientifique, le secteur privé et la société civile pour mieux comprendre le problème et pour adopter et mettre en œuvre des mécanismes pour le résoudre. En conséquence, la couche d’ozone est en bonne voie de se rétablir, mais l’engagement continu de toutes les parties et de toutes les parties prenantes est nécessaire pour que la mission soit accomplie.
Les manuels des traités sur l'ozone ont été créés à la demande de la Réunion des Parties au Protocole de Montréal à sa deuxième réunion, en 1990, et ont été mis à jour après chaque Réunion annuelle des Parties au Protocole (MOP) et Conférence triennale des les Parties à la Convention (COP) depuis lors. Ils se composent des textes des traités, tels qu'adaptés et amendés au fil des ans, ainsi que de toutes les décisions de la RdP et de la CdP, ainsi que des annexes pertinentes et du règlement intérieur. Les manuels contiennent un compte rendu des mesures prises pendant plus de trois décennies pour protéger la couche d'ozone. Plus que cela, ils sont une ressource cruciale pour les parties elles-mêmes, ainsi que pour les experts, les industries, les organisations intergouvernementales et les groupes de la société civile impliqués dans cette importante mission.
La couche d'ozone est une région à forte concentration d'ozone dans la stratosphère, de 20 à 30 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre. Il agit comme un bouclier invisible et nous protège, ainsi que toute vie sur terre, des rayons ultraviolets nocifs (UV) du soleil.
Au milieu des années 80, des scientifiques ont découvert un amincissement de la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique. Il a été déterminé que les produits chimiques d'origine humaine contenant des halogènes étaient la principale cause de cette perte d'ozone. Ces produits chimiques, appelés collectivement substances appauvrissant la couche d'ozone (SAO), comprennent les chlorofluorocarbures (CFC), les hydrochlorofluorocarbures (HCFC), les halons et le bromure de méthyle. Ils ont été utilisés dans des milliers de produits, des climatiseurs, réfrigérateurs et bombes aérosols, aux solvants utilisés pour nettoyer l'électronique, les mousses isolantes, les systèmes de protection contre les incendies, les inhalateurs et même les semelles de chaussures, ainsi que les fumigants pour tuer les parasites.
Salués comme l'un des accords de ce type les plus réussis de l'histoire, les traités sur l'ozone rassemblent tous les pays du monde, dans un cadre qui leur donne accès aux dernières informations scientifiques, environnementales et technologiques sur lesquelles fonder leurs décisions. Depuis plus de 32 ans, les parties aux traités sur l'ozone collaborent avec le monde scientifique, le secteur privé et la société civile pour mieux comprendre le problème et pour adopter et mettre en œuvre des mécanismes pour le résoudre. En conséquence, la couche d’ozone est en bonne voie de se rétablir, mais l’engagement continu de toutes les parties et de toutes les parties prenantes est nécessaire pour que la mission soit accomplie.
Les manuels des traités sur l'ozone ont été créés à la demande de la Réunion des Parties au Protocole de Montréal à sa deuxième réunion, en 1990, et ont été mis à jour après chaque Réunion annuelle des Parties au Protocole (MOP) et Conférence triennale des les Parties à la Convention (COP) depuis lors. Ils se composent des textes des traités, tels qu'adaptés et amendés au fil des ans, ainsi que de toutes les décisions de la RdP et de la CdP, ainsi que des annexes pertinentes et du règlement intérieur. Les manuels contiennent un compte rendu des mesures prises pendant plus de trois décennies pour protéger la couche d'ozone. Plus que cela, ils sont une ressource cruciale pour les parties elles-mêmes, ainsi que pour les experts, les industries, les organisations intergouvernementales et les groupes de la société civile impliqués dans cette importante mission.
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