Lettre à M. Fétis, directeur du Conservatoire royal de Bruxelles, sur le compte que sont en droit de lui demander: le gouvernement qui l'emploie, les chambres qui lui accordent des subsides, le peuple qui les paie, les familles qui lui confient des élèves, l'art qu'il arrête dans sa marche progressive, et la vérité qu'il respecte rarement