KIPETRO VITECHI
Dès le départ du film on commence avec une dose de course poursuite,ingrédient indispensable,mais qu'il faut savoir doser savamment sinon gare à "lover dose" et en parlant de love c'est frais aussi de ce côté là et bien assorti. On a la démonstration que souvent les silences en disent bien plus qu'une heure de tchatche indigeste car trop ou pas explicite. NAVY0770
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Comment Edgar Wright, auteur d'une réjouissante trilogie entamée avec Shaun of the dead (2004), a-t-il pu tomber si bas ? Hommage appuyé ou plagiat, il reprend des pans entiers du Drive de Nicolas Winding Refn, dans cette histoire de jeune chauffeur mutique (Ansel Elgort, amorphe) qui pilote pour des braqueurs. Comme le type souffre d'acouphènes, il écoute de la musique sans arrêt : prétexte à une interminable playlist accompagnant courses-poursuites et fusillades. Les premières séquences sont chorégraphiées, mais ces velléités de comédie musicale s'estompent bien vite. Ne reste alors qu'un polar quelconque aux personnages sous-écrits et surjoués.
Marius Oliere
Le meilleur du film est dans le trailer, oubliez la sub elle juste au début, fox sur joue son personnage qui ne devient plus du tout crédible, le happy end juste impossible quand on connaît un minimum les lois américaines, mais surtout mon plus gros souci perso j'ai trouvé qu'il y avait trop de dialogue et pas assez de conduite.
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