Jacques Boya
- الإبلاغ عن مراجعة غير ملائمة
« Se que j'ai moins ème c'est la fin » Oui, on en attendait pas moins. L’avis d’un illettré-crétinoïde ça vaut de l’or. Il faut retourner voir Scarface, le surgissement impromptu d’une nuance ne risque pas de venir troubler votre expérience. — Ouin, Ouin… on a bien le droit d’avoir un avis divergeant. Oh oui, certainement. Mais cela ne veut pas dire que tout se vaut. Ce film serait sordide sans sa fin. Si l’approche de certains aspects du catholicisme semble superficielle, le film ne manque pas de toucher brutalement le spectateur pour peu qu’il ait un peu de raison, de culture et un cœur. La transcendence est le fil directeur, sans cela c’est sordide jusqu’au grotesque. Faute, miséricorde, rédemption, justice des hommes… Une sorte de Mean Streets en plus sale et plus puissant.