Blade Runner 2049 (VF)

2017年 • 163分

この映画について

En 2049, la société est fragilisée par les nombreuses tensions entre les humains et leurs esclaves créés par bioingénierie. L’officier K est un Blade Runner : il fait partie d’une force d’intervention d’élite chargée de trouver et d’éliminer ceux qui n’obéissent pas aux ordres des humains. Lorsqu’il découvre un secret enfoui depuis longtemps et capable de changer le monde, les plus hautes instances décident que c’est à son tour d’être traqué et éliminé. Son seul espoir est de retrouver Rick Deckard, un ancien Blade Runner qui a disparu depuis des décennies...

評価とレビュー

Depuis le premier Blade Runner, la société s’est encore plus rigidifiée. Une entreprise toute-puissante a perfectionné l’élaboration des « réplicants », ces androïdes presque humains, parfois plus qu’humains. Certains d’entre eux, jugés dangereux, sont traqués par l’officier d’élite K. (Ryan Gosling)… Réunir contemplation et action : c’est le défi un peu fou de ce Blade Runner 2, qui privilégie le plan-séquence hypnotique, pour nous embarquer dans un Los Angeles vertical, cerné de brouillard et de neige. Une bulle de verre bleutée dans laquelle K. évolue en somnambule, avec ou sans son « modèle plaisir », à la fois hologramme et poupée sexuelle plus vraie que nature. Le pouvoir tient désormais entre les mains d’une sorte de secte transhumaniste, barricadée dans ses délires de renaissance de l’espèce, reléguant à la périphérie ceux qui meurent de faim. Entre cérémonie et démesure (au risque de l’enflure), ce nouvel opus n’est pas joyeux : solennel, plongé dans la nuit ou baignant dans le crépuscule. Il captive par sa splendeur visuelle et architecturale, tient de l’exploration intérieure, de la rêverie violente. Une cérémonie sombre qui agrège anticipation et archéologie — y compris cinématographique, Denis Villeneuve glissant lui-même des hommages à des maîtres, d’Andreï Tarkovski à Stanley Kubrick. Combat titanesque sur fond de déluge, le finale offre l’allégorie impressionnante d’un rêve qui se brise.

Denis Villeneuve nous emmène une fois de plus dans son univers, si particulier. On y retrouve l'univers du premier Blade Runner, et quelques rappel de l'épisode précédent (notamment l'ancien camarade de Deckard, fan d'origami). Bien que le film traite toujours de la question de l'origine de l'être, cette fois-ci s'ajoute celui de la filiation et de la transmission. Il ne me semble pas utile de devoir absolument faire un parallèle entre cet épisode, et l'ancien. Bien que l'univers soit respecté avec plus ou moins de brio, l'intrigue est vraiment différente, même si les thèmes fondateurs du films (valeur de l'existence, le désir) restent toujours pregnant. Fan de science fiction, mon avis risque de ne pas être des plus objectifs. Ryan Gosling pourra vous paraître un peu fade, mais pour ma part, j'y vois l'expression d'un individu un peu dépassé et solitaire, dans une quête effrénée de réponse…. Que dire de sinon de vous faire votre propre jugement, tout en sachant qu'il ne faudrait pas partir avec l'idée de revivre l'expérience du premier Blade Runner? Regardez, et laissez vous porter, la magie opère encore...

De belles images transcendantes comme une bande son assez classieuse, mais dans l'ensemble bien trop inspiré du 1er du genre -blade runner- 2049 est d'une action qui comporte quelques lenteurs ...et Les avis seront partagés entre heroinomanes de l action et reveurs phylosophes En resumé: quand une meca devient bionic? Elle engendre d'amour au final. Un requiem sur l'eternite , dont reve cet humain trop humain si mortel et apres lequel il court, il court.. Run run! Le 1er B R etait un ''like tears in the rain'' Le 2 eme B R est un '' like tears in the snow'' Le 3 eme B R sera un '' like tears in the sea'' 🤔hum hum Alors Plouf ou pas? 3 etoiles indulgentes de cinephile pour m avoir fait sourire et rever de mon 1er amour 😏