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Personnages, synopsis, tout est englué dans le sucre : il était une fois une princesse seule et triste en son château, qui s’éprit d’un beau cardiologue anglo-pakistanais. Mais le destin funeste l’attendait au coin du pont de l’Alma. Et puis ? Rien sur le monde codifié des Windsor (même pas une oreille de Son Adultère Majesté le prince Charles). Rien, ou si peu, sur le rapport de fascination-manipulation qui lia Diana aux médias. Juste un plat diaporama, entre virées caritatives à la limite de la béatification, défilé de paparazzis et scènes de romance gnangnan (à ne pas manquer, l’épisode « détente sur la plage » à base de lancers de crabes…). Même punition pour les dialogues. Lui (toutes les cinq minutes) : « Je sauve des vies, moi. »Elle (chaque fois) : « Ah ben dis donc. » A ce stade, peu importent les efforts de Naomi Watts, en plein numéro transformiste, du brushing à la diction crispée, face à un Naveen Andrews (Lost) très déprimé. A côté de ce navet, Candle in the wind, le fameux hommage d’Elton John à Diana, ressemble à du punk.
Manon Pellerin
En soit, j'ai trouvé le film un peu mou mais j'ai été très touchée par l'histoire et surtout par cette femme qui a marqué le temps. Une fin magnifiquement triste. Je tiens à dire à tout le monde que nous n'avons pas le temps de penser, pas le temps de réfléchire, car qui sait de quoi est fait demain ? Il faut vivre, là est la solution...
Hugo Gomes
Un biopic exceptionnel, comme il en existe peu. Une interprétation parfaitement réussi pour Naomi Watts. Plus qu'un film, un documentaire.