Користувач Google
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Ethan Hunt serait-il dépassé ? Parce qu’il a refusé de sacrifier l’un de ses hommes lors d’une intervention à haut risque à Berlin, le chef de l’IMF (Impossible Missions Force) a laissé filer dans la nature trois charges de plutonium. Trois bombes à retardement que convoite un anarchiste illuminé prêt à détruire le monde… Tom Cruise, la star et le producteur tout-puissant des Mission : Impossible, le répète à longueur d’interviews : chaque épisode de la franchise doit apporter quelque chose de différent. Une ambition louable, et rare à Hollywood, où la plupart des studios, en panne de créativité, préfèrent reproduire, dans leurs blockbusters, les mêmes recettes gagnantes. Dans ce sixième opus, l’obsession du renouvellement se révèle, hélas, contre-productive. Certes, l’ADN de la saga d’espionnage, son cocktail explosif et ludique d’action et de manipulation à deux, trois, voire quatre tiroirs, est respecté. Mais l’équilibre savant entre thriller et ironie, entre cascades et romantisme, est rompu. Après les très réussis Protocole Fantôme (2011) et Rogue Nation (2015), Fallout semble trop long, trop compliqué, trop sentimental et, surtout, trop grave : pourquoi si peu d’humour ? Noirceur lourdement appuyée par les images crépusculaires voulues par le scénariste-réalisateur Christopher McQuarrie, moins inspiré que dans Rogue Nation. Restent, heureusement, les courses-poursuites, toujours plus ahurissantes et spectaculaires. Tom Cruise joue les casse-cou, suspendu sous un hélicoptère à flanc de montagne, à moto dans les grands lieux touristiques de Paris (dont la place de l’Etoile, empruntée à contresens, ce type est fou !) ou… à pied, en sautant de toit en toit à Londres. Et cette séquence-là, au moins, est drôle.
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Nicolas Nico
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Un Mission Impossible - Fallout bluffant ! Henry Cavill dans le rôle du méchant, très réussi, même si prévisible. Le spectateur en a pour ses "mirettes", cascades, bagarres, explosion, belles bagnoles... Et toujours prêt à déjouer n'importe quels pièges. Un habile et savant mélange. Des rebondissements, mais une fin digne des plus grands. Cette suite, ou l'on retrouve Solomon Lane, prisonnier, dont les pays se le "refilent" afin qu'il soit traduit en justice, et par la même occasion interroger. Solomon donne à Mission Impossible du fil à retordre. L'équipe n'a pas dit son dernier mot, pour sauver le monde, l’humanité. Captivant, le spectateur suit ce divertissement avec beaucoup d'intérêt. Et c'est le but, un Mission Impossible réussit !
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