Nicolas Nico
- Maka okungalungile
- Bonisa ukubukezwa komlando
Ce dernier volet de la saga Equalizer nous montre l'univers de Robert McCall. Ce que l'on avait survolé, ou peu entendu parlé dans la première partie. Mais cette fois, même si l'on a toujours le savoir-faire de McCall, le rythme est beaucoup plus calme. Le scénario est plus posé, les méchants sont moins présents, mais frappent et ciblent puis disparaissent. Quelle organisation est derrière tout ça ? L'investiture de McCall afin de connaître qui sont les meurtriers de Susan, son amie et ex-chef du temps de son ancien boulot. Se déroule au ralentit, le spectateur constate la peine que perçoit Robert. Il se fait un nouvel "ami", qu'il tente d'aider à rester dans le droit chemin et persévérer dans son art, qu'est le dessin. Ce divertissement se voit moins agité. Dommage, le 1 était bien mieux réussit. Ce second volet se laisse tout de même bien regarder.
Pierre-Antoine Mendez
le film est bien jouer mais le seul bémol c'est que sa parle beaucoup trop et pas asser d'action, sa part un peu dans tous les sens et on comprend pas trop se qui se passe avant un bon moment du film... le premier était extra, le 2 l'est beaucoup moins... c'est dommage car y'avais un bon potentiel
Fabrice Thomas
Faire une suite n'était probablement pas une bonne idée. Le film n'est pas mauvais en soi, c'est un bon divertissement même si les rebondissements sont assez prévisibles. C'est assez bien joué et assez bien rythmé mais il n'y a plus la "magie" du premier film, ça sent le réchauffé
Abantu abangu-15 bathole lesi sibuyekezo siwusizo