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Retrouvailles avec l’un des héros Marvel les plus réjouissants de la troupe des Avengers : Ant-Man (alias l’irrésistible Paul Rudd), l’homme qui rétrécit à volonté, chevauche des fourmis et redresse les torts sans jamais se prendre au sérieux. Le film commence juste après les événements de Captain America : Civil war. Les superhéros sont devenus super-illégaux, après les dégâts causés par leur guéguerre interne. Ant-Man est assigné à résidence, avec bracelet électronique, et s’ennuie. Jusqu’à la visite décisive d’anciennes connaissances. Cette trépidante aventure à base de voyage dans l’infiniment petit et de physique quantique pour les nuls déborde d’idées, toutes fondées sur les changements d’échelle : où un gigantesque bâtiment peut commodément se réduire, d’un coup de rayon magique, à la taille d’une valise à roulettes. Même tour de passe-passe pour les voitures, dont la taille de jouet renouvelle allègrement le spectacle classique de la course-poursuite. Le scénario un peu fouillis (embouteillage de méchants, d’une clique de mafieux à une nouvelle et dangereuse créature) n’est que le prétexte de cette grande attraction visuelle, que les inconditionnels devront regarder jusqu’au bout du générique, pour ne pas louper une importante révélation.
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