Les rivières pourpres

Niemans et Delaunay doivent élucider le meurtre d’Eric Spaggio, curé d’un petit village, retrouvé nu, crucifié sur une croix inversée, dans une église. Très vite, les flics font le lien entre cette mise en scène macabre et un martyr du 3ème siècle après J.-C., dont les reliques ont disparu dans le village voisin. En pleine enquête, Camille trouve un mot du tueur dans sa veste : « La première lettre du nom du père a été prononcée ». Un deuxième meurtre survient alors que d’autres reliques sont dérobées à quelques kilomètres de là.

Niemans et Delaunay doivent élucider le meurtre d’Eric Spaggio, curé d’un petit village, retrouvé nu, crucifié sur une croix inversée, dans une église. Très vite, les flics font le lien entre cette mise en scène macabre et un martyr du 3ème siècle après J.-C., dont les reliques ont disparu dans le village voisin. En pleine enquête, Camille trouve un mot du tueur dans sa veste : « La première lettre du nom du père a été prononcée ». Un deuxième meurtre survient alors que d’autres reliques sont dérobées à quelques kilomètres de là.

Le corps d’une femme noire est découvert dans un hangar désaffecté. Plus d’entrailles, une mise en scène scabreuse, et un dièse gravé sur le front de la victime. L’enquête dirige les enquêteurs vers une jungle de migrants, à quelques kilomètres de là. Pour Niémans et Delaunay, il s’agit d’un crime rituel africain, teinté de vaudou et de mysticisme. L’urgence est double : la population locale est déjà sur les dents, et les différentes ethnies du camp sont à couteaux tirés. Alors que Niémans découvre qu’il s’agit bien d’une migrante malienne, Camille, elle, infiltre la jungle en se faisant passer pour une bénévole. Elle y rencontre le Professeur, autorité du camp qui maintient l’ordre au sein de cette population hétéroclite. Très vite, une découverte : ce premier meurtre pourrait être une imitation. Mais un deuxième corps est retrouvé, et cette fois-ci, aucun doute sur la nature rituelle du crime. Alors que les énigmes s’accumulent, le duo d’enquêteurs découvre l’existence d’un démon peule, qui semble terrifier les migrants du camp : le Kenbaltyu. Sa marque : un dièse gravé sur le front...

Le corps d’une femme noire est découvert dans un hangar désaffecté. Plus d’entrailles, une mise en scène scabreuse, et un dièse gravé sur le front de la victime. L’enquête dirige les enquêteurs vers une jungle de migrants, à quelques kilomètres de là. Pour Niémans et Delaunay, il s’agit d’un crime rituel africain, teinté de vaudou et de mysticisme. L’urgence est double : la population locale est déjà sur les dents, et les différentes ethnies du camp sont à couteaux tirés. Alors que Niémans découvre qu’il s’agit bien d’une migrante malienne, Camille, elle, infiltre la jungle en se faisant passer pour une bénévole. Elle y rencontre le Professeur, autorité du camp qui maintient l’ordre au sein de cette population hétéroclite. Très vite, une découverte : ce premier meurtre pourrait être une imitation. Mais un deuxième corps est retrouvé, et cette fois-ci, aucun doute sur la nature rituelle du crime. Alors que les énigmes s’accumulent, le duo d’enquêteurs découvre l’existence d’un démon peule, qui semble terrifier les migrants du camp : le Kenbaltyu. Sa marque : un dièse gravé sur le front...

Alors qu’il parcourt le jardin de la propriété des Monferville, le majordome tombe sur un jeune garçon de 17 ans en piteux état. Mains brûlées, teint livide. Alors qu’il va le renvoyer, l’homme tombe des nues : selon cet adolescent, il serait Herminien de Monferville, enfant de la grande famille éponyme, disparu il y a six ans. De son côté, le lieutenant Camille Delaunay, supposée en vacances, est à la recherche de son fils Léo dont elle ne retrouve plus la trace depuis sa dernière famille d’accueil. Son enquête l’amène chez les Monferville. Car elle a compris le plan de son fils : se faire passer pour cet enfant disparu qui lui ressemble étrangement, afin de bénéficier du mode de vie luxueux de cette famille. Accompagnée de Niémans, elle se rend sur place pour éviter des ennuis supplémentaires à son fils. Quelle n’est pas sa surprise quand Caroline de Monferville lui confirme qu’il s’agit bien d’Herminien ! Persuadée que son fils Léo profite du malheur de cette mère éplorée, Camille, avec l’aide de Niémans, tente de prouver que ce garçon est bien son propre fils. Mais l’enquête prend une toute autre dimension quand elle parvient à faire un test ADN entre Léo et elle-même : aucune correspondance ! De son côté, Léo, enfermé dans cette inquiétante bâtisse et de plus en plus mal-en-point, comprend qu’il s’est jeté dans la gueule du loup...

Alors qu’il parcourt le jardin de la propriété des Monferville, le majordome tombe sur un jeune garçon de 17 ans en piteux état. Mains brûlées, teint livide. Alors qu’il va le renvoyer, l’homme tombe des nues : selon cet adolescent, il serait Herminien de Monferville, enfant de la grande famille éponyme, disparu il y a six ans. De son côté, le lieutenant Camille Delaunay, supposée en vacances, est à la recherche de son fils Léo dont elle ne retrouve plus la trace depuis sa dernière famille d’accueil. Son enquête l’amène chez les Monferville. Car elle a compris le plan de son fils : se faire passer pour cet enfant disparu qui lui ressemble étrangement, afin de bénéficier du mode de vie luxueux de cette famille. Accompagnée de Niémans, elle se rend sur place pour éviter des ennuis supplémentaires à son fils. Quelle n’est pas sa surprise quand Caroline de Monferville lui confirme qu’il s’agit bien d’Herminien ! Persuadée que son fils Léo profite du malheur de cette mère éplorée, Camille, avec l’aide de Niémans, tente de prouver que ce garçon est bien son propre fils. Mais l’enquête prend une toute autre dimension quand elle parvient à faire un test ADN entre Léo et elle-même : aucune correspondance ! De son côté, Léo, enfermé dans cette inquiétante bâtisse et de plus en plus mal-en-point, comprend qu’il s’est jeté dans la gueule du loup...

Une femme est retrouvée morte dans le hammam brûlant de Clinagen, un centre de bien-être haut de gamme. Elle a été tondue, vidée de son sang, et porte une mystérieuse rosace gravée sur le corps. Chose étrange : la victime, 69 ans, en paraît 20 de moins. C’est également le cas de la plupart des autres clientes ici. Niémans et Delaunay arrivent sur place et examinent ce lieu atypique, uniquement composé de femmes, et de jeunes hommes de ménage. La mystérieuse directrice de cet endroit, le Dr Vialle, assume ses ambitions de jeunesse éternelle et d’avancées scientifiques. L’enquête oriente nos flics vers le village voisin. Récemment converti au bio par les financements de Vialle, les habitants tentent de survivre sous la contrainte difficile de ce type d’agriculture et d’élevage. Alors que Camille fait la connaissance de Claude, une désensorceleuse vivant dans les bois, Niémans, lui, découvre que la mise en scène macabre du meurtre renvoie aux chasses aux sorcières du Moyen-Âge, particulièrement actives dans cette région. Enfin, une ambiance étrange plane sur le village, avec des jeunes adolescentes amorphes qui semblent cacher un lourd secret. Un deuxième meurtre survient. Le corps d’une autre cliente écartelée selon les méthodes expéditives de ces chasses aux sorcières, est retrouvé dans le jardin de Clinagen. Quel est le lien entre ce village étrange, la mystérieuse directrice de ce centre dont les clientes sont visées, et les légendes de sorcellerie qui semblent terrifier tout le monde ?

Une femme est retrouvée morte dans le hammam brûlant de Clinagen, un centre de bien-être haut de gamme. Elle a été tondue, vidée de son sang, et porte une mystérieuse rosace gravée sur le corps. Chose étrange : la victime, 69 ans, en paraît 20 de moins. C’est également le cas de la plupart des autres clientes ici. Niémans et Delaunay arrivent sur place et examinent ce lieu atypique, uniquement composé de femmes, et de jeunes hommes de ménage. La mystérieuse directrice de cet endroit, le Dr Vialle, assume ses ambitions de jeunesse éternelle et d’avancées scientifiques. L’enquête oriente nos flics vers le village voisin. Récemment converti au bio par les financements de Vialle, les habitants tentent de survivre sous la contrainte difficile de ce type d’agriculture et d’élevage. Alors que Camille fait la connaissance de Claude, une désensorceleuse vivant dans les bois, Niémans, lui, découvre que la mise en scène macabre du meurtre renvoie aux chasses aux sorcières du Moyen-Âge, particulièrement actives dans cette région. Enfin, une ambiance étrange plane sur le village, avec des jeunes adolescentes amorphes qui semblent cacher un lourd secret. Un deuxième meurtre survient. Le corps d’une autre cliente écartelée selon les méthodes expéditives de ces chasses aux sorcières, est retrouvé dans le jardin de Clinagen. Quel est le lien entre ce village étrange, la mystérieuse directrice de ce centre dont les clientes sont visées, et les légendes de sorcellerie qui semblent terrifier tout le monde ?