Thomas et ses Amis (VF)

Thomas provoque une catastrophe sur le port mais au lieu d’avouer tout de suite que c’est lui qui a commis la bêtise, il dit à Cranky que c’est un certain Geoffrey le coupable ! Geoffrey serait une locomotive qui viendrait d’intégrer l’équipe mais en réalité c’est Thomas qui l’a inventé. La nouvelle se répand comme une trainée de poudre et tout le monde veut rencontrer ce fameux Geoffrey. Pris au piège de son propre mensonge, quand le gros contrôleur exige que Thomas lui présente Geoffrey, la locomotive bleue lui fait d’abord croire que Geoffrey est caché dans un tunnel, tellement il est timide. Mais son mensonge ne tient plus quand Spencer traverse le tunnel et ne croise que Thomas. Ce dernier est alors bien obligé d’avouer.

C’est l’hiver et le verglas rend le travail compliqué pour tout le monde sur Chicalor. Le gros contrôleur attend une caisse remplie d’une commande surprise et il charge Thomas d’aller la chercher au port. Mais Cranky a accidentellement fait tomber la caisse et le bruit qu’elle a fait en s’écrasant sur le sol lui fait croire que son contenu est en mille morceaux. Honteux, Cranky cache la caisse dans un coin. Thomas finit par la retrouver avec l’aide de Salty et repart avec à fond les wagons à Tit’mouss. Mais hélas, il n’a plus assez de sable pour freiner sans glisser et c’est l’accident. La caisse est projetée dans les airs mais au final, rien n’est cassé. Le gros contrôleur explique alors qu’il a maintenant tout l’équipement nécessaire pour installer une patinoire devant la mairie, pour le plus grand bonheur des enfants.

A cause de la neige qui recouvre l’ile, tout marche au ralenti. Emilie par exemple, est coincée dans l’atelier de Victor où elle attend désespérément qu’on lui livre des pistons neufs. Désobéissant à son chef, Kevin décide de partir chercher les pistons et grisé par la neige, il fait le fou-fou à côté de l’atelier. Un bloc de neige se détache du toit et tombe sur Kevin. Ce dernier ne peut plus bouger. Inquiet de ne pas le voir revenir, Victor brave son horreur de la neige et part à sa recherche. Mais c’est Thomas qui retrouvera Kevin, alerté par les bruits que fait la petite grue avec son crochet sur une vitre.

Thomas se retrouvé coincé à la casse avec Reg car il n’a pas voulu écouter les conseils d’Henrietta et faire le plein de charbon avant de partir. Il attend donc qu’une locomotive à vapeur passe pour lui emprunter un peu de combustible. Mais il n’arrive pas à se faire voir ou entendre de celles qui longent la casse. Très vite, une rumeur va se propager : Toby serait à la casse pour y être démantelé et finir en tas de ferrailles. Heureusement, le malentendu ne va pas durer : le gros contrôleur fait une annonce dans laquelle il explique que même si Toby n’est plus tout jeune, c’est un membre à part entière de son équipe !

Les inspecteurs du chemin de fer sont de retour sur Chicalor et ils ont l’air plus ronchons que jamais. Le premier à passer l’inspection est Thomas et malheureusement, les incidents (indépendants de sa volonté) vont s’enchainer : une vitre se coince, des écoliers chahuteurs sèment la pagaille dans le wagon des inspecteurs, et Thomas arrive en retard à destination. Heureusement, en fin de journée, l’un des contrôleurs qui avait perdu sa montre va la retrouver grâce à Annie et Clarabelle et comme il y tenait beaucoup, par gratitude, il va donner une excellente note à l’équipe du gros contrôleur.

Henry est d’un naturel inquiet. Aussi quand il croise Brigitte et Stéphane, les petits-enfants du gros contrôleur qui ont la varicelle et donc plein de boutons sur le visage et même s’il ne connait pas cette maladie, il ne peut s’empêcher de craindre qu’elle soit contagieuse. Et ses craintes ne vont cesser de grandir à force de voir des locomotives avec des tâches plein la figure ! Il va s’imaginer que ce sont des boutons alors que c’est de la terre ou de la peinture. Heureusement, avant que sa panique ne provoque une catastrophe, le gros contrôleur va lui expliquer que la varicelle est une maladie qui touche uniquement les humains, pas les locomotives !

Toad adore chanter mais à la longue, il a un peu tendance à casser les oreilles de tout le monde. Un jour, il aperçoit une baleine échouée sur la plage. Au début, Oliver ne le croit pas mais il est bien obligé de se rendre à l’évidence quand il aperçoit lui aussi la baleine. Il prévient aussitôt les secours mais comme c’est marée basse, impossible de remettre la baleine à l’eau. C’est finalement Toad qui trouvera la solution et grâce à lui, le cétacé pourra retrouver le large et sa famille de baleine. Et en récompense, Toad aura le droit de chanter à chaque fois qu’il longera la côte pour faire coucou à la baleine.

C’est la fête du printemps et Percy est chargé du transport des moutons du fermier. Seulement dans sa précipitation, Percy ne remarque pas qu’il a un wagon avec un trou dans une paroi. Du coup, à chaque fois qu’il s’arrête ou qu’il ralentit, des agneaux s’échappent du wagon. Thomas qui le suit de loin avec des passagers se rendant à la fête, croise les agneaux abandonnés sur la voie et les récupère. Seulement comme il n’a pas de wagon spécial pour le transport du bétail, il est obligé de les mettre dans Annie qui rouspète en pensant à ses banquettes. Finalement, tout le monde arrivera sain et sauf à la fête.

Il neige dru sur Chicalor et à cause de la météo, Spencer, la locomotive privée du Duc de Beaufort, se voit obligé de passer la nuit à la gare de triage. Gordon le soupçonne d’avoir peur de la neige. Piqué au vif, Spencer lui rétorque qu’il a un jour sauvé le Duc des griffes de l’Abominable Homme des Neiges. Le lendemain, le pont est toujours bloqué et Spencer est forcé de travailler avec Henry, la locomotive la plus peureuse de l’équipe. Toute la journée, Spencer s’amuse à terroriser Henry en lui faisant croire que l’Abominable Homme des Neiges existe bien , alors que le gros contrôleur, lui, se retrouve à pied à la suite d’un accident et doit chercher du secours. Bientôt couvert de neige et frigorifié, il fait peur à Spencer qui le prend pour le monstre et c’est Henry qui se montrera au final le plus courageux !

A force de raconter à longueur de journée des histoires terrifiantes de monstres marins, Salty s’est « auto »-persuadé que la mer était un endroit dangereux. Aussi, quand le gros contrôleur veut l’envoyer travailler sur un chantier naval sur le continent, Salty panique car il doit faire le trajet en mer puisque le Pont des Vicaires est inutilisable. Salty va donc essayer de se rendre utile en « volant » les missions des autres : tous les moyens étant bons pour ne pas aller au port. Heureusement, Thomas va le retrouver et lui faire entendre raison. Un peu rassuré, Salty va accepter d’être chargé sur un cargo et la traversée va se dérouler sans aucun problème.

(Histoire inspirée de « Un conte de Noël de C. Dickens) Diésel a toujours été particulièrement égoïste et s’il y a bien une chose qu’il ne faut pas lui demander, c’est de rendre service et ça, les autres locomotives commencent à en avoir assez, Thomas en tête. La goutte qui fait déborder le vase intervient la veille de Noël alors que Diésel abandonne le pauvre Paxton, que son chargement trop lourd a fait dérailler. Thomas, aidé de ses amis, décide de lui donner une petite leçon. Alors que Diésel rentre à la tombée de la nuit dans l’atelier des diésels, il trouve l’endroit complètement désert. Soudain, une voix lugubre déchire le silence ambiant et Diésel aperçoit une silhouette de locomotive nimbée de vapeur qui lui explique être le fantôme de ses Noëls passés. Emilie (car c’est elle le fantôme) lui rappelle toutes les fois récentes où il a refusé de rendre service à ses amis. Terrifié, Diésel s’enfuit.

(suite de l’épisode 452) Diésel tombe ensuite sur le fantôme de ses Noëls présents : à savoir Paxton qui lui parle depuis l’autre côté d’un tunnel en l’aveuglant avec ses phares pour ne pas être reconnu. Paxton lui demande de penser à la joie des gens pendant les fêtes de Noël. Terrorisé, Diésel s’enfuit encore et ne voit pas le rail cassé où Paxton a eu son accident la veille et il déraille à son tour. Thomas se déguise alors sous une couche de déchets et vient le voir en prétendant être le fantôme de ses Noëls futurs. Il lui fait comprendre que s’il continue à abandonner les autres quand ils ont besoin de son aide, il va finir par connaître le même sort. Couché dans la neige, Diésel s’imagine alors resté coincé sur le bas-côté, incapable de remonter seul sur les rails. Cela le fait tellement réfléchir qu’il décide de changer. Et c’est un nouveau Diésel, enfin serviable, que les locomotives de Chicalor croiseront sur les voies le jour de Noël !

Den et Dart sont deux locomotives diésels inséparables. Les deux meilleurs amis travaillent toujours ensemble. Alors quand le gros contrôleur décide que Den doit remplacer Mavis, en panne, à la Carrière de Farkar, les deux diésels protestent. Le pauvre Den va d’ailleurs passer un très mauvais moment à la Carrière à cause des wagons farceurs qui vont le faire tourner en bourrique. A l’atelier, Dart, lui, va déprimer jusqu’à ce que Mavis lui fasse comprendre que, plus vite il l’aura réparée, plus vite il retrouvera son ami. Dart va donc s’activer pour réparer Mavis pendant qu’à la Carrière, encouragé par Toby et Henrietta, Den va enfin se faire respecter par les wagons. En fin de journée, les deux amis vont enfin se retrouver.

Comme Thomas se culpabilise d’avoir accidentellement envoyé Hiro à l’atelier de réparation, il décide d’aller dans la forêt où il a découvert Hiro pour voir s’il ne pourrait pas trouver des pièces de rechange pour accélérer les réparations. Mais surpris par un faon qui traverse la voie, il déraille à son tour. Il appelle au secours mais personne ne l’entend. Il a alors l’idée d’envoyer des signaux de vapeur à Harold. Les renforts arrivent et Thomas rejoint son vieil ami à l’atelier. Celui-ci lui apprend que le gros contrôleur a commandé d’avance des pièces de rechange la dernière fois qu’Hiro a été réparé. Thomas s’est donc inquiété pour rien !