– Comme c’est triste, murmurait Dorian, les yeux fixés sur son portrait. Oh ! Oui, profondément triste !… Je vais devenir vieux, horrible, affreux !…
Mais ce portrait restera toujours jeune. Il gardera l’age de cette journée de juin… Ah! Si cela pouvait changer ! Si c’était moi qui pouvais rester jeune, et cette peinture vieillir !… Pour cela, je donnerais tout… Il n’y a rien au monde que je ne donnerais… Mon âme, même!…
Un style poétique et provocant pour une œuvre captivante, indispensable, magistralement lue par six comédiens inspirés.
A écouter absolument.
Nouvelle traduction. Texte intégral.