Par petites touches, le poète, comme un peintre, dessine le pays en ayant comme point central Pointe-Noire (la ville de ses premiers amours), puis s'agrègent d'autres paysages : ceux du Djoué se jetant dans le fleuve Congo, qui, à son tour se perd avec force dans la mer... La boucle est bouclée. Il faut lire ce recueil comme un fantasme, d'une vie épanouie, généreuse, irradiant sa convivialité sur l'ensemble du territoire national et au-delà.