Jouer pour déjouer le sort et contourner le chagrin ennemi. En mots graves ou follets, écrits d’une plume sensible, l’auteur exorcise le désarroi. Il égrène en pensées ironiques la folie du temps : « Je noie mes pleurs dans ma solitude ! ». Ou comment dire avec une infinie pudeur la douleur de vivre.
Après « Enfer... derrière ! » et « Le rebond », Laurent Golliot nous propose de l’accompagner à nouveau à travers les sentiers de l’imaginaire.