Si le pire de la crise semble à présent derrière nous, un retour rapide à une forte croissance paraît peu probable, et l’emploi ne retrouvera pas son niveau d’avant la crise avant plusieurs années. La dette publique et privée a atteint de tels niveaux que l’on peut s’attendre à une augmentation des compressions et de l’épargne, ce qui prolongera les effets de la crise dans les années à venir.