Analyse: (vol. 2, p. 143-146) Le 8 d├йcembre 1830, le parti lib├йral perd en Constant son "plus spirituel organe". L'auteur trace le portrait d'un Constant "brillant", mais "sceptique et moqueur". Les largesses de Louis-Philippe (don de 200.000 francs et nomination au comit├й de l├йgislation du Conseil d'Etat) n'enray├иrent pas la ruine morale et financi├иre du d├йput├й lib├йral, puisqu'il ├йtait engag├й dans "la moins digne des oppositions": une "flatterie subtile des passions r├йvolutionnaires et populaires". L'auteur rappelle aussi les ├йchecs de Constant ├а l'Acad├йmie, et ses obs├иques : l'"enthousiasme faux", le "cort├иge froid et sec" furent ├а l'image de la vie de l'homme.