Analyse : Suite de quatre lettres apocryphes dues au pasticheur vaudois Nicolas Chatelain (cf. Ch. Guyot, L'oeuvre curieuse mais oubliée d'un pasticheur vaudois, in Tribune de Genève, 30 oct. 1954). Benjamin Constant, à peine âgé de quinze ans, y est décrit par un Voltaire qui ne tarit pas d'éloges à son sujet et qui déclare faciliter son introduction chez Mme du Deffand.